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MEDIA / PRESSE

[/vc_column_text][vc_tta_accordion style= »modern » spacing= »2″ c_icon= »chevron » c_position= »right » active_section= »0″ collapsible_all= »true »][vc_tta_section i_type= »openiconic » i_icon_openiconic= »vc-oi vc-oi-article » title= »Golden Blocks / MOUV » tab_id= »1475484916694-617f03bb-556b » add_icon= »true »][vc_column_text]

Golden Blocks en Ile-de-France, avec Mouv’

Le 12 Juillet 2016 Ne manque pas la prochaine course Golden Blocks le 12 juillet à Vitry-sur-Seine !

Golden Blocks en Ile-de-France, avec Mouv'

Participe à la course de sprint sur le bitume, en battle. Pas de chrono, un seul but… finir premier !

Cet événement parrainé par Ladji Doucouré (double Champion du Monde d’athlétisme), se déroule dans 5 départements de l’Île de France, pour sélectionner les meilleurs Sprinter de région parisienne qui s’affronteront à Paris (date à définir).

Rendez-vous le mardi 12 juillet de 13h à 18h au parc des Lilas, à Vitry-sur-Seine

D’autres dates sont à venir en septembre 2016 !

À propos du projet

L’objectif de cet évènement est de modifier le quotidien des quartiers en sortant l’athlétisme des stades pour l’amener au cœur des milieux urbains. C’est pourquoi une compétition de vitesse, sous forme de « Battle » est organisée pour les 11-15 ans, et permettra aussi de révéler de nouveaux talents et de transmettre les valeurs propres au sport.

Cette fête du sport pour tous, est ouverte au plus grand nombre, puisqu’un village « animations » dédié aux loisirs urbains sera ouvert toute la journée : Double Dutch, Graffiti, Street-art et danseurs, le tout animé par des DJs !

Plus d’informations sur la page Facebook de l’événement.

Lien article original : http://www.mouv.fr/evenements/golden-blocks-en-ile-de-france-avec-mouv

[/vc_column_text][/vc_tta_section][vc_tta_section i_icon_fontawesome= »fa fa-picture-o » title= »Maëva Danois – Meeting d’Oordegem » tab_id= »1475230961238-9a6e3d21-0dc2″ add_icon= »true »][vc_column_text][/vc_column_text][/vc_tta_section][vc_tta_section i_icon_fontawesome= »fa fa-picture-o » title= »CrossFit Karima Wod Session / Ouest France » tab_id= »1474985083669-7b5a8632-65c4″ add_icon= »true »][vc_column_text]14489031_10209626242553401_1676065273_o[/vc_column_text][/vc_tta_section][vc_tta_section i_type= »openiconic » i_icon_openiconic= »vc-oi vc-oi-article » title= »Ladji Doucouré / Track and Life » tab_id= »1475488192465-d5ecfeee-0166″ add_icon= »true »][vc_column_text]

ladji_trackandlife

boro_trackandlife

Lien article original : http://www.trackandlife.fr/ladji-doucoure-je-vais-au-bout-de-ce-que-je-metais-promis/

[/vc_column_text][/vc_tta_section][vc_tta_section i_icon_fontawesome= »fa fa-picture-o » title= »La ville d’ Hérouville soutient Maëva Danois  » tab_id= »1475230959580-8b726f77-1909″ add_icon= »true »][vc_column_text]

[/vc_column_text][/vc_tta_section][vc_tta_section i_type= »openiconic » i_icon_openiconic= »vc-oi vc-oi-article » title= »Golden Blocks / Le Parisien » tab_id= »1475484514754-bf4e8d4d-f2ff » add_icon= »true »][vc_column_text]

Grigny : concours de sprint au pied des tours

 

Une fillette en doudoune à gauche. A côté, son adversaire porte un jean. Pas vraiment une tenue pour faire du sport. Et pourtant l’une comme l’autre ont participé ce mercredi à la compétition organisée par l’athlète essonnien Ladji Doucouré et son association High Frequency team.
Pan ! Le coup de feu retentit.
Les deux mini-athlètes s’élancent et foncent sous les applaudissements. « Madame doudoune » remporte finalement ce duel assez largement. « On passait à côté d’ici, et des copines nous ont parlé de ça, on est venu voir », raconte celle qui s’est imposée lors de cette première course.Tout au long de l’après-midi, près de 200 enfants se sont ainsi succédé sur la ligne de départ pour des courses de 60 m, sur le pont enjambant l’A6. « On a choisi cet endroit parce que c’est symbolique, c’est la route qui désenclave la Grande-borne et qui est la liaison entre tous les quartiers de la ville », indique-t-on au sein du cabinet de la mairie de Grigny.
Une foule de participants et de spectateurs pour cette première étape de la « Golden Block ». (LP/F. L) « C’est à côté de chez nous et il y a un super vivier pour l’athlé ici, on avait à cœur que la première étape de notre projet se déroule à Grigny », lance Boro Doucouré, le frère du champion du monde de 110 m haies, lui aussi fondateur de cet événement.
Attentifs, Ladji Doucouré et les quelques représentants des clubs d’athlétismes de la région ont décelé du talent brut chez certains jeunes participants. Leur objectif ? Amener des jeunes à pratiquer l’athlétisme. Un pari presque réussi : « J’ai bien aimé gagner ma première course, je vais peut-être m’inscrire en club », confie Arnold, 12 ans qui pratique déjà le foot. « On veut rendre ce sport festif, c’est pour cela qu’on a installé un village à proximité de la piste improvisée », reprend Boro Doucouré. Là, le champion du monde de double dutch (corde à sauter) a fait une démonstration. Une deuxième piste permet aux enfants de se faire chronométrer. Et tout le monde repart avec un t-shirt.Mais la compétition reste la compétition. Et les vainqueurs, garçon et fille dans chacune des quatre tranches d’âge (correspondant aux classes de 6e à 3e), ont surtout gagné le droit de participer à la grande finale qui se déroulera le 31 mai à Paris. En attendant, l’événement se déplace ces prochains jours à Vitry (Val-de-Marne), Paris (XXe) et l’Ile-Saint-Denis (Seine-Saint-Denis).
Le champion du monde Ladji Doucouré a encouragé et donné des conseils à tous les enfants, surtout les plus timides.

Grigny, ce mercredi. Le champion du monde d’athlétisme Ladji Doucouré, originaire de Viry, organise une tournée sportive en pleine rue et initie les jeunes au sprint. (LP/F.L.) « L’athlétisme peut se pratiquer n’importe où » Ladji Doucouré, double champion du monde d’athlétismeIl précise d’emblée : « Je ne suis pas juste le parrain, je suis à l’origine de cette manifestation. » Après trois ans de labeur, Ladji Doucouré, double champion du monde d’athlétisme et spécialiste du 110 m haies, a lancé hier à Grigny sa tournée sportive baptisée Golden Block. Des « battles » de sprints, au pied des tours, pour rendre l’athlétisme ludique. Le champion originaire de Viry explique sa démarche.On vous sent heureux au milieu des enfants, vous retrouvez-vous en eux ? LADJI DOUCOURÉ. Oui, clairement. Tu les sens timides avant leur course et hop, le coup de feu et ils filent. Et puis ils se prennent au jeu et recommencent. Moi aussi, j’ai mis du temps à m’affirmer. Et si je n’avais pas croisé un mec, je n’aurais pas découvert l’athlé et je ne serais pas devenu ce que je suis.Vous espérez dénicher les stars de la piste de demain ?Ils feront de l’athlétisme ou ils n’en feront pas. Peu importe. Mais, au moins, ils auront croisé l’athlé et vu que ce n’est pas seulement faire des tours de collège en EPS. C’est des courses, du sprint, de la compétition. Pas seulement de l’endurance. Et certains ont déjà de bonnes foulées, je mets une petite croix à côté de leurs noms. Mais il y a des clubs qui sont là et qui les regardent aussi.Pourquoi avoir tenu à organiser cet événement en dehors d’un stade ? Pour montrer que l’athlétisme peut se pratiquer n’importe où, à n’importe quel moment. Le premier à un coin de rue, à un stop, ou juste pour attraper son bus.

leparisien.fr

Lien article original : http://www.leparisien.fr/grigny-91350/grigny-concours-de-sprint-au-pied-des-tours-06-05-2015-4751101.php[/vc_column_text][/vc_tta_section][vc_tta_section i_type= »openiconic » i_icon_openiconic= »vc-oi vc-oi-article » title= »Golden Blocks / UNSS » tab_id= »1475242769932-78f87271-86dc » add_icon= »true »][vc_column_text]

Golden Blocks de 11 à 15 ans

 

Golden Blocks - Affiche

 

La première compétition d’athlétisme dans les quartiers parrainée par Ladji Doucouré, double Champion du Monde.

 

Les Goldens Blocks réunissent le temps d’une après-midi des jeunes de 11 à 15 ans pour une compétition de vitesse sous forme de « battle ». Cet événement initié et parrainé par Ladji Doucouré (double champion du monde d’athlétisme) et son association High Frequency Team se déroule dans 4 départements d’Île-de-France en partenariat avec l’UNSS (l’Union Nationale du Sport Scolaire).

 

Plus de 300 jeunes sont attendus sur chaque étape pour la première des Golden Blocks.
A travers ces rencontres, les organisateurs veulent modifier le quotidien des quartiers et transmettre les valeurs propres au sport en sortant l’athlétisme des stades.

 

En parallèle aux courses, un village « animations » dédié aux loisirs et aux sports urbains sera ouvert toute la journée : Double Dutch, gymnastique acro-aérienne, graffiti, street-art et danseurs, le tout animé par des DJs et des speakers.

 

Lien article original : http://unss.org/blog/golden-blocks-de-11-a-15-ans/[/vc_column_text][/vc_tta_section][vc_tta_section i_type= »openiconic » i_icon_openiconic= »vc-oi vc-oi-article » title= »Doucouré : « J’aspire à une place de titulaire » / Ouest France » tab_id= »1475484009625-9ca233e0-e11b » add_icon= »true »][vc_column_text]

Doucouré : « J’aspire à une place de titulaire »

 

Abdoulaye Doucouré, devrait connaître sa 4e titularisation en L1 contre Ajaccio.Rennes – Ajaccio, samedi (21 h). Le jeune milieu de terrain, lancé il y a trois semaines, a été très convaincant. Il affiche déjà ses ambitions.

Entretien :

Abdoulaye Doucouré, 20 ans, milieu de terrain. Formé au Stade Rennais.

Abdoulaye, comment ça se passe pour vous depuis votre première titularisation ?

Je suis content, j’enchaîne les matches. Je voulais avoir du temps de jeu, j’en ai, et c’est de bon augure pour la saison prochaine.

Vous avez rapidement trouvé vos marques dans cette équipe…

Oui, cela fait quand même près d’un an que je m’entraîne avec le groupe pro. Tout le monde m’apprécie et je me suis fondu automatiquement dans le collectif.

Vous étiez impatient de pouvoir jouer ?

Oui j’étais impatient, mais le coach m’avait dit de patienter, que j’aurais ma chance, un jour ou l’autre.

Vous vous attendiez à ce niveau de jeu ?

Oui je m’attendais à un tel niveau, où il y a beaucoup de rythme quand même. Mais je n’ai pas été trop surpris car j’avais un bon niveau physique et j’étais bien préparé.

Qu’est-ce qui vous a paru le plus difficile ?

C’est de rester concentrer tout le match, sans s’éparpiller. Tenir la performance tout au long du match.

Tout est allé assez vite finalement pour vous. De l’ombre à la lumière en quelques semaines…

Oui, c’est le football qui veut ça. Je ne m’imaginais pas ça comme ça. Après j’étais tellement impatient de jouer, et j’ai tellement patienté que je l’ai pris comme c’est venu.

Vous aviez vu Axel Ngando, déjà, débuter avant vous…

Oui et ça m’avait touché, car on a vécu un peu la même chose. Lui avait eu son heure et moi j’attendais la mienne. C’est arrivé face à Brest.

La différence avec Axel Ngando c’est que vous, vous êtes titulaire…

Le coach m’a donné sa confiance et j’espère que ça va durer pour des deux derniers matches. Mais il faut reconnaître qu’au début de saison, j’avais des lacunes. Le coach a été patient et s’il ne m’a pas fait débuter avant c’est que je n’étais pas prêt.

« J’ai un gros volume de jeu »

Vous marquez souvent ?

Ça m’arrive j’essaye parfois de me projeter devant. Je ne suis pas un pur milieu de terrain défensif. Je suis entre les deux, et j’aime bien le jeu à l’anglaise qui veut qu’on attaque et qu’on défende. Vu que j’ai un gros volume de jeu, et une bonne VMA, on me demande de faire les efforts.

Que visez-vous pour la saison prochaine ?

Je vais prendre le début de saison à fond et après on verra. Mais j’ai la prétention de postuler à une place de titulaire.

Vous retournerez faire une préparation d’avant-saison à l’Insep, comme l’an dernier ?

D’abord, il y a les sélections pour la Coupe du monde des moins de 20 ans. Si je suis pris, tant mieux, sinon je retournerai à l’Insep, comme l’an dernier. J’étais resté environ 10 jours, avant la reprise. Et je m’étais entraîné physiquement avec Adrien Taouji. J’en avais besoin suite à ma rupture des ligaments croisés de l’année précédente. J’ai fait cette préparation avec Abou Diaby aussi. C’est Ladji, mon cousin qui m’avait conseillé d’aller là-bas.

Au fait, votre cousin vous a appelé depuis ?

Oui, il m’appelle souvent. Il m’a conseillé de rester les pieds sur terre, et de continuer à travailler.

 

Lien article original : http://www.ouest-france.fr/bretagne/doucoure-jaspire-une-place-de-titulaire-1452187

[/vc_column_text][/vc_tta_section][vc_tta_section i_type= »openiconic » i_icon_openiconic= »vc-oi vc-oi-article » title= »Le bon départ ? / L’équipe » tab_id= »1475490189190-e6a090c0-35a4″ add_icon= »true »][vc_column_text]

abdoulaye_lequipe

Article du journal l’équipe du samedi 8 février 2014

 

[/vc_column_text][/vc_tta_section][vc_tta_section i_type= »openiconic » i_icon_openiconic= »vc-oi vc-oi-article » title= »Abdoulaye Doucouré Retour de Blessure / Ouest France » tab_id= »1475483209986-7f5b9c34-2517″ add_icon= »true »][vc_column_text]

Abdoulaye Doucouré est dans les temps

Abdoulaye Doucouré a retrouvé les terrains, il y a une semaine, contre Saint-Lô, en CFA2.

Gravement blessé il y a six mois et demi, le milieu de terrain rennais a repris le fil de la compétition la semaine dernière en CFA2, répondant ainsi au timing qu’il s’était fixé.

Il paraît en forme, bien remis. Sans se cacher, Abdoulaye Doucouré a fait du boulot classique pendant une heure face à Saint-Lô, il y a une semaine, grappillant quelques ballons avant de se tourner vers l’organisation. Bref, il a récité ses gammes avant de sortir, comme convenu, vers l’heure de jeu.

Un retour encourageant dénué de mauvais pressentiment et de craintes, assaisonné d’une passe décisive. « Cela a été, je n’ai pas ressenti de douleurs. Dans les duels, je n’ai pas eu peur, retient le natif des Mureaux qui piaffait d’impatience à l’idée de reprendre. Cela fait plaisir de revenir, car c’était un peu galère… »

Les conseils de Ladji

Dévasté par une rupture du ligament croisé antérieur du genou gauche (la deuxième en moins de trois ans), contractée le 18 mai dernier contre Ajaccio (1-1), Abdoulaye Doucouré a travaillé dans la souffrance et le silence, passant par trois centres de rééducation (trois semaines à Capbreton et Clairefontaine puis un mois à l’INSEP).

Dans les Landes, il a retrouvé son préparateur physique Adrien Taouji, devenu un confident, qui était d’ailleurs à la Piverdière, pour son match de reprise.

Une proximité vécue également avec son cousin Ladji, grand spécialiste du 110 mètres haies, chez qui il s’est installé pendant un mois pour poursuivre sa préparation à l’INSEP. « On a partagé beaucoup de choses tous les deux. Il m’a donné pas mal de conseils parce que lui aussi n’a pas été épargné par les blessures. »

Peu de joueurs de 20 ans ont subi deux blessures similaires de ce type, au même endroit, lissées sur un temps aussi rapproché. Pour se frotter de nouveau aux exigences du football professionnel, Abdoulaye Doucouré confirme avoir durci son programme de reprise. « Je ne me suis pas posé tellement de questions. Le médecin m’a dit que ma croissance pouvait avoir un lien. Vu qu’elle est terminée, il ne devrait plus y avoir de risques. Au début, c’est vrai que ça cogite un peu à l’intérieur. Mais j’ai bien bossé, été bien suivi. Et surtout, je suis revenu dans les temps. »

« Ce club m’a tout donné… »

En parlant de délai, le suspense entoure toujours son avenir, un peu flou, puisque son contrat arrive à terme à l’issue de cette saison. Alors qu’une prolongation était dans les cartons après les débuts tonitruants du joueur en Ligue 1, les discussions se sont estompées. Mais Doucouré, qui voulait se concentrer sur son rétablissement progressif, reste déterminé. « J’ai envie de poursuivre ici. Il y a un beau projet. Puis, je n’ai même pas fait une saison complète en pro,fait-il justement remarquer. Ce club m’a tout donné, m’a fait confiance et j’espère, en retour, lui redonner cette confiance. » C’est l’histoire d’une signature.

 

Lien article original : http://www.ouest-france.fr/bretagne/abdoulaye-doucoure-est-dans-les-temps-1783476[/vc_column_text][/vc_tta_section][/vc_tta_accordion][/vc_column][vc_column width= »1/2″][vc_column_text]

ARTICLES SCIENTIFIQUE

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 Entraîneurs et scientifiques

La science passe les entraînements au crible par SAP[/vc_column_text][/vc_tta_section][vc_tta_section i_type= »openiconic » i_icon_openiconic= »vc-oi vc-oi-article » title= »Les DOMS appelés plus communément les courbatures » tab_id= »1475056044918-32455b53-354b » add_icon= »true »][vc_column_text]

Les DOMS (delayed onset muscle soreness) appelés plus communément les courbatures

 

Les courbatures expliquées par SAP

Que sont les courbatures et comment surviennent-elles ?

 

Les courbatures sont des douleurs musculaires post-effort qui apparaissent généralement entre 12 et 48h après l’effort. Elles sont consécutives à un stress particulier d’ordre biomécanique qui fait suite à un exercice musculaire excentrique intense et/ou inhabituel.

Ces douleurs quelque peu désagréables sont en fin de compte des microlésions sur les fibres musculaires. Elles s’accompagnent de déficience avec une

diminution de la force musculaire, des amplitudes articulaires et des qualités proprioceptives. Il faut compter entre 10 jours et 3 semaines en moyenne pour récupérer la totalité de son potentiel physique. Ce temps varie principalement en fonction du niveau d’entrainement du sportif.

Plus vous êtes entraînés et moins les courbatures se feront ressentir après l’effort et dans le temps !

 

Existe-t-il des traitements ?

Si certains semblent atténuer les courbatures, aucun d’entre eux n’a encore démontré sa réelle efficacité. Ces douleurs musculaires post-effort n’interdisent pas la pratique du sport mais il faut aménager et reposer la zone concernée.

Le meilleur traitement reste la prévention !

Pour prévenir les courbatures nous vous proposons quelques conseils :

–   Avant de démarrer une activité sportive, il faut débuter par un échauffement musculaire, articulaire et ventilatoire qui doit mener à une progressivité dans l’intensité de l’effort ;

–   Avant, pendant et après l’exercice, il faut s’hydrater et boire régulièrement avec si possible des eaux riches en minéraux type magnésium et calcium ;

–   En fin de séance, il faut procéder à un retour au calme avec notamment quelques étirements en douceur pour retrouver un peu d’amplitude au niveau des structures tendineuses, ligamentaires, musculaires et articulaires. Un massage doux sur les muscles sollicités peut compléter les effets bénéfiques de ces étirements post-effort ;

–   Toujours en fin de séance, possibilité d’augmenter la vascularisation des vaisseaux sanguins (pour éliminer les déchets créés par les courbatures) avec des sources de chaleur type jacuzzi, sauna, hammam, etc… ;

Enfin, maintenir une activité physique de façon régulière ainsi qu’une alimentation saine et équilibrée, restent encore les remèdes les plus efficaces !

[/vc_column_text][/vc_tta_section][vc_tta_section i_type= »openiconic » i_icon_openiconic= »vc-oi vc-oi-article » title= »J-7 avant un marathon » tab_id= »1475056045151-81e40fb4-f62d » add_icon= »true »][vc_column_text]

J-7 avant un marathon

 

Les bonnes pratiques avant un marathon expliquées par SAP

L’entraînement

 

« Rien ne doit être dur, ce sont les derniers réglages »

Inutile de chercher à se rassurer sur cette dernière semaine, la performance se construit sur le travail effectué les semaines précédentes.

Cependant, les derniers réglages peuvent optimiser votre potentiel physique, et cette période que l’on qualifie d’affûtage reste déterminante dans le résultat final.

Sur cette dernière semaine de préparation d’un marathon, il faut surtout diminuer de 50 à 70% le volume hebdomadaire de kilomètres. L’intensité de votre dernière séance (si le programme choisi en propose une), peut tout à fait être à 100% de VMA (Vitesse Maximale Aérobie) mais il faut aborder cette dernière séance comme un rappel et non comme une séance de développement.

Au niveau des sensations et de la difficulté perçue, l’objectif est de rechercher facilité et aisance au niveau respiratoire mais aussi au niveau mécanique. Rien ne doit être dur, ce sont les derniers réglages.

Je conseille de ne pas hésiter à enlever, modifier ou décaler une séance si vous ressentez le besoin afin d’éviter d’effectuer la répétition de trop comme le font beaucoup de coureurs.

Sur cette période d’affûtage terminale, il faut rechercher le maximum de fraîcheur physique et mentale car elle sera déterminante dans la performance finale.

Proposition d’une semaine type pour un coureur qui s’entraîne 4 fois/semaine et qui vise 3h30 (12km.h) :

Mardi – 1h de footing en endurance fondamentale (env. 11km.h pour ce coureur)

Mercredi – 25’ footing d’échauffement + étirements/assouplissements/légers éducatifs PUIS 14’ de 30’’-30’’ (15-16 km.h) OU 2*3’, r.2’ (13km.h) puis 6 * 30’’-30’’ (15-16 km.h) avec l’objectif d’être en aisance respiratoire + 10’ footing de retour au calme

Samedi – 30’ à 35’ de footing + assouplissements + éventuellement quelques lignes droites en souplesse pour délier la foulée

Dimanche – Marathon

 

En dehors des entraînements

 

Bien sûr la performance sur votre marathon dépendra elle aussi de votre comportement en dehors des séances d’entrainement, et en théorie, les bonnes habitudes sont déjà prises avant d’attaquer cette dernière semaine.

Toutefois quelques conseils peuvent vous permettre une nouvelle fois d’optimiser votre performance.

L’alimentation des derniers jours. Evidemment il y a des règles nutritionnelles à respecter avant d’attaquer un effort type marathon mais celles-ci doivent prendre en compte les caractéristiques individuelles. Il est évident d’éviter tout essai sur un aliment ou produit qui n’aurait pas été testé en amont lors de la préparation. Pas de restriction alimentaire et/ou régime sur cette période, il est important d’apporter des quantités suffisantes de « carburant » avant d’attaquer 42km de course à pied notamment en sucres lents (plutôt pommes de terre et riz) et protéines (plutôt œufs, viandes blanches, poisson). Attention toutefois à ne pas avaler des éléments peu digestes surtout ces derniers jours. Il faut donc proscrire les aliments riches en graisses saturées (sauces, viandes grasses type charcuterie/mouton/agneau, pâtisseries, plat cuisinés, …), les fruits/légumes trop riches en fibres (asperges, artichauts, haricots, lentilles, flageolets, fruits secs et séchés, …) et les boissons dites « acides » (café, boissons sucrés, certains jus de fruits, boissons énergisantes, thé glacés, …). Enfin, je conseille de boire 2 à 2,5l d’eau par jour et pas forcément une grande quantité les heures précédant la course.

Ensuite, nous savons que le sommeil doit être appréhendé tout au long de la préparation et qu’il fait partie intégrante de la récupération des charges d’entrainement. Inutile alors de s’obstiner à vouloir se coucher plus tôt, la dernière nuit car elle n’a que très peu d’influence sur votre course. Il est tout à fait normal d’avoir des difficultés pour trouver le sommeil la veille de l’échéance car le cerveau est déjà centré sur son objectif et nous pouvons ressentir une sorte de stress pré-compétitif. Je conseille généralement de se détendre la veille de toutes les manières possibles en allant par exemple au cinéma, en lisant un livre ou encore en faisant une partie de jeu de société entre ami(e)s..

Pour finir, même si cette période de récupération et d’assimilation n’est pas évidente à vivre sur le plan psychologique, il faut faire preuve de patience avant le dénouement final. En effet, rien ne doit vous empêcher d’atteindre votre objectif, vous êtes prêts, soyez confiant et tout ira bien.

[/vc_column_text][/vc_tta_section][vc_tta_section i_type= »openiconic » i_icon_openiconic= »vc-oi vc-oi-article » title= »L’entrainement des muscles respiratoires » tab_id= »1475243825316-c6677051-17d3″ add_icon= »true »][vc_column_text]ultrabreathe

 

La place du système respiratoire dans la limitation à l’effort semble avoir été réévaluée ces dernières années, le nombre d’études portant sur le sujet en est la preuve. La fonction respiratoire joue un rôle essentiel dans la performance de nombreux sports. Il est pourtant courant d’observer des athlètes n’utilisant pas leurs capacités pulmonaires de façon optimale.

Les muscles respiratoires, au même titre que les muscles squelettiques, fatiguent à l’effort. Lors de l’hyperventilation, les muscles respiratoires consomment davantage d’oxygène, entrant en concurrence avec les muscles locomoteurs qui peuvent être moins perfusés. Ce phénomène de concurrence entre les muscles respiratoires et les muscles locomoteurs pourrait être un facteur limitant la performance (Vergès, Boutellier,2007).

C’est à partir de ces éléments que certains chercheurs ont tenté d’identifier les effets d’un entraînement des muscles respiratoires (EMR) sur les paramètres ventilatoires des sportifs. Au sein de l’INSEP, et plus particulièrement avec des athlètes de demi-fond élite appartenant au pôle INSEP, nous avons pu mettre en place un EMR sur 6 semaines. Les résultats nous portent à croire qu’il semble intéressant d’ajouter à l’entraînement quotidien de ces sportifs de haut niveau, un renforcement des muscles respiratoires. L’évolution positive de certains volumes et débits ventilatoires mesurés au repos et post-effort ainsi que la diminution de l’indice de perception de l’effort (RPE), retrouvés sur nos sujets, rejoignent les conclusions d’autres études faites avec d’autres sports de haut niveau (Vergès, 2007).

Ainsi, nous proposons à l’ensemble des entraîneurs de l’INSEP une fiche décrivant un EMR adapté pour toute discipline sportive. Cet outil est construit à partir des connaissances cumulées depuis deux ans (mémoire master 1 et 2) et l’avancée des recherches dans ce domaine.

Objet : Entraînement des muscles respiratoires

Durée : 3 cycles de 4 semaines (Octobre, Janvier et Avril)

Athlètes concerné(e)s : Validé avec des athlètes de demi-fond élites uniquement mais conseillé pour tout niveau et tout sport

Appareil utilisé : Ultrabreathe (photo ci-dessus), disponible sur de nombreux sites internet

Objectifs : Apprendre à mieux respirer, diminuer l’essoufflement, améliorer la ventilation, renforcer les muscles respiratoires

Préambule :

– Pour le travail inspiratoire vous pouvez inspirer et expirer dans l’appareil (pas d’inspiration par le nez !!)

– Effectuez les exercices en position debout ou assise avec le dos droit

– Essayez de rendre chaque respiration aussi EXPLOSIVE que possible de manière à solliciter de façon optimale vos muscles respiratoires : à titre d’exemple, il ne faut pas plus de 3 secondes environ pour remplir vos poumons.

Protocole : 6 séances par semaine à réaliser le matin ou le soir, concentré et dans le calme

SEMAINE 125 inspirations + 10 expirations + 3*8’’ d’hyperventilation

SEMAINE 225 inspirations + 10 expirations + 3*10’’ d’hyperventilation

SEMAINE 325 à 30 inspirations + 10 expirations + 2*12’’ d’hyperventilation

SEMAINE 430 inspirations + 10 expirations + 2*15’’ d’hyperventilation

Résistance : Augmentez quand l’exercice devient facile à réaliser. Pour cela, tournez le manchon d’un tour vers la droite (voir notice d’utilisation).

 

Adrien TAOUJI

La Lettre des Entraîneurs de la LIFB N°1 – Novembre 2010[/vc_column_text][/vc_tta_section][/vc_tta_accordion][/vc_column][/vc_row]